bienvenue

Bienvenue à toutes et à tous, étudiants,chef de chantier,conducteur de travaux .....etc en génie civil. Ceci est la nouvelle page officielle de notre club dont la relance est en cours....

Dans Btprofession , tu peux trouve tous ce que vous-voulez sur le BTP en générale .

Etude d’une Villa en R+3

On va essayer de faire ensemble un exemple détaillé de A à Z avec robot. Il s’agit d’une villa en R+3. Implantée à Alger (zone III), structure mixte (voiles plus portiques en BA).

Présentation de l'ouvrage:

? Nombre d’étage : R+3
? Hauteur : 3.24m pour tous les niveaux (sauf plancher sur escalier 3.00m)

Vue en plan:
Vue en 3D :
Pré dimensionnement :
Poteaux
Type 01 : 30x30 Pour tous les niveaux
Poutres
Poutres principales : 30 x 40
Poutres secondaires : 30 x 35
Plancher
Plancher type corps creux : h = 16+4
Dalle pleine
Dalle pleine : ep= 15
Voile
Dalle pleine : ep= 15

Evaluation des charges:

Etage courant :
G =5.4 Kn/m²
Q =1.5 Kn/m²
Etage terrasses, (inaccessible):
G =6.2 Kn/m²
Q =1.0 Kn/m²

Démarrage :

Maintenant en va commencer la modélisation avec Robot.
Il faut entrer avec le module étude d’une coque (l’utilisation de ce module nous facilite la modélisation des voiles et des dalles pleines) :
Réglage des préférences :
Avant d’entamer la modélisation il faut régler les préférences (longue, affichage, …) et les préférences d’affaire (les unités, les matériaux, les normes,…).
Allez au menu déroulant outils/préférence (ou outils/préférence d’affaire) :
Remarque : On à pas besoin de faire les réglages des préférences et préférences d’affaire pour chaque projet, il suffit de faires une seule fois après installation de Robot.

Les lignes de construction :

La première étape de modélisation c’est le dessin des lignes de construction. Ces ligne représente les axes de la structure (X, Y et Z).
Dans la fenêtre de Robot allez à la premiere icône de la barre d’outils qui se trouve sur la droite de la fenêtre:
La boite de dialogue suivante s’ouvre :
Dans le champ (répéter) on doit entrer toujours la valeur 1 puisqu’on n’a pas des valeurs d’entraxe qui se répètent (sauf pour l’axe Z ou on peut répéter 4 fois 3.24).
Dans le champ (espacement) on doit entre la valeur des entraxes et à chaque fois on clic sur (insérer). On fait cette opération pour les trois axes (X, Y et Z).
On doit avoir le résultat suivant :
Clic sur (appliquer) et activer la vue en 3D et vous aurez le résultat suivant :
On va arrêter la pour cette étape à la prochaine .
bon lecture .

les poutres :Principe du béton armé

Principe du béton armé pour les poutres:
Structure Poteau-Poutre.
Étudions le principe de fonctionnement de quelques éléments de béton armé dans une structure courante :
  *- Poutre   *- Dalle   *- Poteau   *- Fondations
___________

Flexion.
Une poutre en béton armé est généralement soumise à de la flexion :
- Fibres supérieures comprimées
- Fibres inférieures tendues
Livrons-nous à une série d’expériences de rupture de poutre à la flexion :

_____________
une poutre préfabriquée avec aciers de levage.
Les poutres peuvent être préfabriquées (en usine ou sur le chantier), on prévoit alors des aciers de levage.

Ces aciers de levage sont des aciers lisses : ils se déforment davantage avant la rupture et cette rupture est moins brusque qu’avec les aciers haute adhérence (HA).

______________

L'enrobage

L’enrobage : Les aciers doivent être protégés des agressions extérieures et ne doivent pas gêner le remplissage du béton.
Il faut pour cela respecter une distance d’enrobage c (ou e).
L’enrobage varie selon l’agressivité du milieu : 1, 3 ou 5 cm.
________________

La recouvrement.
Longueur de recouvrement : Lorsqu’une barre d’acier n’est pas assez longue, on prolonge avec une autre barre. Pour que l’effort puisse se transmettre d’une barre à une autre, il est nécessaire de « recouvrir » les barres sur une certaine longueur dite longueur de recouvrement.
Cette longueur vaut 50 Φ pour de l’acier courant Fe 500 MPa

_____________
Poutre : exemple de plan de ferraillage .
 bon lecture .



                                   

maîtriser des réunions


LES POSTURES
La position du corps : contraction, extension, en avant ou en arrière, chacune de ses positions exprime ou résulte d'un ressenti différent.. Pour travailler la déprime, le malheur, le comédien va travailler vers la contraction : corps voûté, tête penchée, yeux au sol.
Travailler l'assurance nécessite de se redresser, de relever la tête, de tenir le regard et d'ouvrir le corps.
Pour ne pas être déstabilisé, soyez stable sur vos appuis, soyez grand, soyez ouvert.
Pieds écartés à la largeur des hanches et effectuez une légère bascule du bassin vers l'avant, comme dans les arts martiaux.
POUR BIEN COMMENCER
Il n'y a pas de baguette magique et, pourtant, en appliquant quelques trucs les résultats sont immédiats. Voici cinq actions à respecter pour renforcer l'impact de votre arrivée face à un interlocuteur ou face au public.
Les cinq actions sont : 
- Aller vers le public: avancer,
- Geste d'ouverture: Accueillir,
- Entrer en relation: regarder,
- Posez-vous: expirer/souffler,
- Faire plaisir: sourire.
Appliquez cette approche en cinq éléments.
Quinté dans l'ordre ou dans le désordre, à chacun de faire sa cuisine !
LE M.O.I.
Votre message : exprime ce qui est essentiel pour vous, ce que le public doit retenir. 
Ce qui doit rester après votre intervention doit pouvoir se résumer en une phrase.
Exemple : « Hier, j’ai vu un film.»
Votre objectif : c’est ce que vous attendez que votre public fasse. Cette attente doit pouvoir se traduire pour le public en une action précise qui doit pouvoir s’exprimer par un verbe d’action.
Dans notre exemple : aller voir le film ou ne pas y aller.
Votre intention :est la traduction de votre investissement dans le message. Elle désigne ce que vous ressentez, c’est votre point de vue. Elle fait naitre un ressenti chez votre public.
Dans notre exemple : plaisir ou dégoût induisent un désir ou un rejet de votre public.

Il ira (ou n'ira pas) voir ce film si votre intention est claire.
Seule une intention claire permet d’atteindre l’objectif.

Définissez clairement votre M. O.I. (Message, Objectif, Intention)
Dans le doute, vous pouvez verbaliser votre M.O.I. comme un processus de communication :
Dites votre message « Hier, j’ai vu un film. », puis « mon intention, c’est de vous faire partager mon plaisir »
et ajouter « mon souhait (objectif), c’est que vous alliez voir ce film.»

LE CONTENU
Vous communiquez pour trois raisons: faire savoir, faire comprendre, faire partager.
    _Structurez votre discours à l'aide d'un message essentiel et de quatre à six sous messages, en les hiérarchisant. L’essentiel est dit au début.
     _Commencez par des faits, puis donnez votre opinion. Faites part de vos sentiments et tirez-en les conséquences.
      _Validez ce que vous attendez de votre public et tirez-en une conclusion tournée vers l’avenir.
Il faut choisir entre être utile ou se faire plaisir. Ne garder que le nécessaire et conserver « des cartouches » pour les réponses aux questions.
LES TRANSPARENTS
Chaque transparent est « autonome » et sa mise en page aérée permet une lecture rapide.
Votre transparent commence par un titre qui tient en une phrase. Ce titre est le message essentiel à retenir par votre public.
L’essentiel est dit dans les premières lignes, et le texte est structuré autour « d’idées forces » et de points clés. Les informations vont de la plus utile à la moins utile.
Le texte est écrit en minuscule avec une couleur foncée sur un fond clair !
PRENDRE SON TEMPS
Il existe deux leviers pour prendre son temps : le silence et le débit.
Voici les outils pour faire jouer ces leviers :
 -Le Silence :
 -Respirer,
 -Regarder,
 -Faire des gestes,
 -Occuper l'espace.
Le débit :
 -Articuler (donner de la valeur à ce qui est dit),
 -Faire des gestes en parlant (permet de se freiner),
 -Regarder votre public les yeux dans les yeux,
 -Scander les mots ou idées importantes,
 -Répéter ce qui doit être souligné. 
 -A partir de votre première répétition (et oui il faut répéter!), ajouter 20% à 30% de temps en plus pour dire la même chose, vous renforcerez votre présence.




Dessin du bâtiment

Exercice 2 Lecture des plans:
exercice corrigé sur la lecture des plans et dessin de bâtiment, avant de faire cet exercice, on vous invite de lire ces cours: Plan RDC et les Cotations définitions et types.

On donne:
Le plan de Rez-de-chaussée suivant: (cliquez sur les images pour les agrandir)




Questions:
1- Calculer les cotes A, B, C et D.
2- Donner les dimensions de la fenêtre du séjour.
3- Déterminer la longueur et la largeur de la maison.
4- Calculer la surface du Séjour et W.C
5- Calculer la surface hors oeuvre du Rez-de-chaussée.

Réponses:
1- Détermination des cotes A, B, C et D:
A= 1501 - (50 + 180 + 26 + 180 + 240 + 21 + 240 + 138 + 240 + 145)
A= 1501 - 1460
A= 41 cm

B= 1501 - (44 + 405 + 20 + 44)
B= 1501 - 513
B= 988 cm

C= 1501 - (40 + 150 + 40 + 135 + 60 + 85 + 40 + 410)
C= 1501 - 960
C= 541 cm

D= 890 - (90 + 205 + 135 + 149)
D= 890 - 579
D= 311 cm

2- Les dimensions de la fenêtre du séjour: 120 cm de longueur et 215 cm de hauteur.

3- La longueur de la maison c'est: 15.01 m et la largeur c'est: 8.90 m

4- Calcul du surface de W.C et Séjour:

On a la relation suivante: Surface = Largeur × Longueur
Alors:
- Surface du Séjour = 4.05 × 5.55 = 22.4775 m² on prend 22.48 m²
- Surface de W.C = 1.39 × 1.46 = 2.0294 m² on prend 2.03 m²

5- La surface hors oeuvre du RDC:

On a la surface totale: 15.01 × 8.90 = 133.59 m²
à déduire: 2.75 × 4.53 = 12.46 m²
et 133.59 - 12.46 = 117.13 m²
Alors la surface hors oeuvre du RDC = 117.13 m

lecture des plans exercice 3

Exercice 3 Dessin du bâtiment :

On donne les définitions suivants:

Plancher :   élément porteur horizontal et séparatif dans une construction.
Isolant thermique   : Isolation c'est la réduction de la propagation d'un phénomène physique(thermique, phonique...)
Chaînages verticaux   : Renfort continu en béton armé. Obtenu à l'aide de barres métalliques, il peut être horizontal ou verticale .
Chaînages horizontaux   : Renfort continu en béton armé. Obtenu à l'aide de barres métalliques, il peut être horizontal ou verticale
Cloison séparative   : Sépare deux pièces.
Cloison de doublage   : Cloison construire contre un mur pour améliorer les performances thermiques et phoniques.
Mur périphirique  : Les murs situés à la périphérie de l'habitation.
Mur de refend      :  Mur séparatif et porteur dans un bâtiment.



Questions:

1- Identifier les éléments de 1 à 8.

Réponse:

1- Chaînage horizontale;
2- Plancher;
3- Linteau;
4- Mur de refend;
5- Chaînage verticale;
6- Mur périphérique ou mur de façade;
7- Isolant thermique;
8- Cloison de doublage.

La fabrication du ciment

La fabrication du ciment courant



Le ciment, la norme NF EN 197-1 en donne une définition : 
" Le ciment est un liant hydraulique, c'est-à-dire un matériau minéral finement moulu qui, gâché avec de l'eau, forme une pâte qui fait prise et durcit par suite de réactions et de processus d'hydratation et qui, après durcissement conserve sa résistance et sa stabilité, même sous l'eau. "




La fabrication du ciment courant

Le constituant principal du ciment est le clinker. Il est obtenu par la cuisson d'un mélange composé généralement aux environs de 80% de calcaire (majoritairement composé de carbonate de calcium CaCO3) et de
20% d'argile mélange complexe et souvent hydraté de silice (SiO2), d'alumine (Al2O3) et d'oxyde de fer (Fe2 O3)).

Extraction, concacassage et broyage
Les matières premières sont extraites des carrières. Les blocs extraits sont ensuite concassés sur le site même de la carrière à une dimension d'environ 50 mm.
Préparation du cru
Les morceaux de calcaires et d'argile sont broyés très finement et sont intimement mélangés pour donner le cru.
Deux techniques de fabrication sont utilisées : le mélange est préparé sous forme de poudre (c'est la voie sèche ou semi-sèche) ou sous forme de pâte (c'est la vois semi-humide ou humide).
La voie sèche est aujourd'hui la plus utilisée. La pratique de la préhomogénéisation affine considérablement le dosage du calcaire et de l'argile, par l'empilement de nombreuses couches des deux matières premières.
Au sortir de la préhomogénéisation, le mélange est broyé très finement pour donner ce cru dont nous venons de parler. Le cru est ensuite réhomogénéisé par fluidisation.

La composition du cru respecte généralement les proportions suivantes :
 
Composant du cru
Proportion
Carbonate de calcium (CaCO3)
77 à 83 %
Silice (SiO2)
13 à 14%
Alumine (Al2O3)
2 à 4%
Alumine (Al2O3)
1,5 à 3 %.

Cuisson du cru

Les installations de cuisson comprennent deux parties : 
-1 La poudre est déversée dans un échangeur de chaleur dans lequel circulent en sens inverse les gaz très chauds qui s'échappent du four. Le cru y progresse jusqu'à l'entrée du four proprement et est donc préchauffé à une température d'environ 800°C quand il atteint l'entrée du four. Sa décarbonatation commence.
-2 Le cru pénètre dans un four rotatif légèrement incliné qui tourne à un rythme de 1 à 3 tour/mn. Ce four mesure de 60 à 90 mètres. Le cru, en entrant dans le four achève sa décarbonatation et chemine vers la zone de clinkérisation (1450°C).

A partir de 650°C , le carbonate de calcium du calcaire subit une décarbonatation (CaCO3 - -> CaO + CO2). On obtient alors de la chaux vive (CaO) accompagnée d'un important dégagement gazeux (CO2).
La chaleur sépare l'argile en silice (SiO2), en alumine (Al2O3) et en oxyde de fer (Fe2O3). 
A partir de 1300°C les réactions de clinkérisation se produisent :
Oxyde de fer (Fe2O3) + alumine (Al2O3) + oxyde de calcium (CaO) --> aluminoferrite tétracalcique (Ca4Al2Fe2O10).
Alumine (Al2O3) + chaux vive (CaO) --> aluminate tricalcique (Ca3Al2O6).

Ces deux composés nouvellement formés constituent la phase liquide du mélange . Celui-ci progresse vers la partie la plus chaude du four. La silice (SiO2) et la chaux vive (CaO) réagissent entre-elles :
Silice (SiO2) + chaux vive (CaO) -->silicate bicalcique (Ca2SiO4)
S'il reste de l'oxyde de calcium (CaO) qui n'a pas encore réagi, la réaction peut se poursuivre :
Silicate bicalcique (Ca2SiO4) + chaux vive (CaO) -->silicate tricalcique (Ca3SiO5)
Broyage du clinker

A la fin de la cuisson, la matière est brusquement refroidie. Elle se présente alors sous forme de granules. Il s'agit du clinker dont la composition est la suivante :
 
Nom cimentier
Formule
Min.
Max.
Alite (silicate tricalcique)
Ca3SiO5
45.0 %
79.7 %
Bélite (silicate bicalcique)
Ca3SiO4
5.7 %
29.8 %
Aluminate tricalcique
Ca3Al2O6
1.1 %
14.9 %
Aluminoferrite tétracalcique
Ca4Al2Fe2O10
2.0 %
16.5 %
Chaux libre
CaO
0.6 %
2.8 %
Finement broyé avec du gypse (destiné à réguler la prise), le clinker donne le ciment Portland.
D'autres ciments sont obtenus en ajoutant à cette phase de broyage divers constituants : laitier granulé de haut fourneau, cendres volantes, fillers, schistes calcinés, qui sont des matériaux pouzzolaniques.
La composition chimique du ciment garantit ses qualités ; des analyses sont donc effectuées sur des échantillons prélevés régulièrement tout au long du procédé de la fabrication. On analyse également les matières premières et les combustibles afin de connaître leur teneur en différents composés et de pouvoir ainsi les doser.
On analyse également les matières premières et les combustibles afin de connaître leur teneur en différents composés et de pouvoir ainsi les doser. Ces analyses sont d'autant plus importantes que la fabrication du ciment emploie aujourd'hui des produits de recyclage, pour les matières premières et pour les combustibles

les composants des escaliers


Les escaliers sont les éléments permettant aux personnes de se déplacer d'un étage à un autre, grâce à une suite de marches.ils peuvent être soit:

- en bois pour assurer en même temps une fonction décorative,
- en métal,
- en béton armé avec revêtement.

.
Composants des escaliers

- L'emmarchement: la largeur utile de chaque marche, mesurée entre murs.
- La contremarche: La marche est la partie sur laquelle vous posez les pieds. Elle est parallèle au sol. La contremarche est tout simplement la partie verticale de la marche. Hauteur environ 15 à 18cm.
- La marche: c'est la partie horizontal où le pied s'appuie pour monter ou descendre l'escalier. Largeur environ 25 à 30cm.
- Le giron: c'est la distance horizontal mesurée sur la ligne de foulée entre deux contremarche. Les girons des marches des escalier intérieurs varient de 27 à 32 cm environ. Dans les calculs de dimensionnement d’escaliers, le giron est souvent désigné par la lettre G.
- nez de marche: :bord avant de la marche, en saillie par rapport à la contremarche inférieure.
vue en plan des escaliers.


- La volée: l'ensemble des marches compris entre deux paliers.
- La ligne de foulée: trajectoire suivie par une personne qui monte ou descend.
- Le palier: dalle horizontal en Béton Armé située à l'extrémité d'une volée. On distingue plusieurs types de paliers:
1- palier de départ,
 2- palier intermédiaire ou de repos,
3- palier d'arrivée.
- Le jour: espace central autour duquel l’escalier se développe.


Murs d'échiffre.


Mur d'échiffre: désigne le mur sur lequel pred’escalier même lorsque ceux-ci ne supportent pas l’escalier.




palier de repos et palier d'arrivée.

maniére de Calculer le Coefficient K et le Coût de Revient: étude de prix


Exercice 1:
On donne:
FC = 7% DS
FG = 22% CP
BA = 10% CR
1- Calculer le coefficient de PVht  K.


Solution d’exercice 1:

CP = 1 + 0.07DS
CP = 1.07DS

CR = 1.07DS + 0.22×1.07DS
CR = 1.07DS + 0.2354DS
CR = 1.3054DS

0.97PVHT = 1.3054DS + 0.1×1.3054DS
0.97PVHT = 1.4359DS

Alors : K = 1.4359

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Exercice 2:

On vous donne:
Le devis commercial ci joint:

- TVA 19.6% : 9 990.00 Euro
- Montant Total TTC : 60 959.50 Euro
- Montant Total HT: 50 969.50 Euro

Vous communique le CR prévisionnel correctement:

- CR = 47 600.00 Euro

On vous demande:
1- Quel est le bénéfice prévu en valeur (HT) ?
2- Calculer le Bénéfice en % du PV (HT)
3- Après réaliser, on vous informe que le bénéfice réaliser est de 7% du PVHT. Quel est le CR réel ?

Solution d'exercice 2:

1- Le bénéfice prévu en valeur (HT):
Bénéfice Prévu = Montant Total HT - CR
Bénéfice Prévu = 50 969.50 - 47 600.00
Bénéfice Prévu = 3 369.50 Euro

2- Le bénéfice en % du PV (HT):

On a :





Donc: Le bénéfice prévu = 6.6% du PV (HT)

3- On a le bénéfice réaliser est de 7% du PV (HT):
PVHT = CR + 7% PVHT
CR = PVHT - 0.07 PVHT
CR = 47 401.63 Euro

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Exercice 3:

Vous devez finaliser une promotion de prix à partir des éléments suivants:
- L'étude poste sur prix d'un m3 de mortier
- Le DS d'un m3 de mortier et de 61.00 Euro

On vous demande:
1- Calculer le CP sachant que FC = 10% des DS
2- Calculer le CR sachant que les FG = 20% des CP et qu'il y a pas de FOp

Solution d'exercice 3:

1- Coût de production
CP = 61.00 + 61.00 × 0.1
CP = 67.10 Euro

2- Coût de revient
CR = 67.10 + 67.10 × 0.20
CR = 80.52 Euro

L'etude de Prix : sous détail de prix

Technique des sous détail de prix :

 

Exemple de sous détail de prix

Technique des sous détail de prix :

Résumé: Un sous détail de prix est un ensemble de calculs conduisant à la détermination du déboursé sec ou du PVHT d'un ouvrage élémentaire. Il est composé d'une part du chiffrage des composants de base (déboursé secs) qui se rapportant sans ambiguïté à l'ouvrage élémentaire analysé, et d'autre part du calcul du PVHT en tenant compte des frais de diverses natures ainsi que la marge bénéficiaire prévue.

Trame de présentation d'un sou détail de prix

Méthodologie :
1- Recherche des quantités élémentaire.
2- Recherche des déboursés unitaires correspondants.
         - Déboursés horaire de main d’œuvre.
         - Valeur HT des matériaux rendus chantier
         - Coût d'utilisation des engins et matériels
3- Exécution du, ou des, sous détails en valeur déboursé sec (DS)
4- Calcul du, ou des prix de ventre unitaires HT. Cette étape inclut :
         - La détermination du % de FC, de FOp et de FG.
         - Le calcul du coefficient de PVHT (K) applicable sur les DS.
         - Le calcul du ou des PVHT.

Implantation

Implantation :

Elle sert à matérialiser sur le terrain les lignes principales de la construction :
Exemples :


- Les murs de façade.
- Les fondations.
- Les terrassements.

Opérations à effectuer :

- des alignements.
- des tracés d'angle.
- des nivellements (plans horizontaux et repères de niveau).


But de l'implantation :

il s'agit de déterminer sur le terrain l'emplacement de construction;
il s'agit de situer la position:
- des murs de façade.
- des murs de refend.

- des murs de pignons.
- des poteaux en béton armé.
Remarque: pour faire l'implantation d'un ouvrage on a besoin des documents suivants:
- plan de situation
- plan de masse
- vue en plan du 1er niveau et du plan de fondation
- plan cadastral (plan de bornage - plan de géomètre)
- coupes du bâtiment

les technique de construire -1

1- Implantation :
L'implantation


Elle sert à matérialiser sur le terrain les lignes principales de la construction.
Exemples
- les murs de façade
- les fondations
- les terrassements
Opérations à effectuer :
- des alignements.
- des tracés d'angle.
- des nivellements.
2- Terrassements :
Les terrassements


Elle permettent de préparer l'assis de la construction et de ses abords.
Travaux à effectuer :
- creuser à l'emplacement des fondations.
- dégager les terres extraites.
- niveler.
3- Fondations :
Les fondations


Elle servent à transmettre directement au sol les charges du bâtiment en tenant compte de sa propre masse.
Elle répartissent les pressions sur le sol souvent par des "semelles continues" sous les murs. La semelle placée sous un poteau est dite "semelle isolée"
Les fondations sont des ouvrages en béton :
- horizontaux dans le cas des semelles et des radiers (un radier est une fondation réalisée sur toute la surface du bâtiment)
- verticaux (puits ou pieux)
4- Murs :
Ce sont des ouvrages verticaux en maçonnerie, porteurs ou de remplissage.




Les murs porteurs ils doivent supporter les charges amenées par :
- les planchers
- les charpentes
- la couverture, etc...
les murs de remplissage
Ils sont souvent réalisés avec des blocs qui viennent "remplir" l'espace constitué par le système porteur poteaux-poutres.
Remarque: Les murs porteurs et de remplissage participent à la stabilité de bâtiment pour l'empêcher de se déformer sous l'effet des charges verticales et du vent.

cotations définition et types


Les cotations:
dans un plan, elles précisent les dimensions d'un ouvrage. On distingue 3 types:
- Cotations linéaires;
- Cotations de niveaux;
- Cotations de nus.
1- Les cotations linéaires:
Elles indiquent les dimensions des pièces, portes, fenêtres, porte-fenêtres, placards, les épaisseurs des cloisons, murs et les hauteurs dans le cas d'une coupe verticale. On distingue deux types de cotations linéaires:
- Cotations intérieures;
- Cotations extérieurs.

Exemple:




Les cotation intérieures et extérieures

les cotations en rouge sont les cotations intérieures et les autres sont les cotations extérieures.

2- Les cotations de niveau:
Les cotes de niveaux indiquent la hauteur de certaines parties de la construction par rapport à un niveau de référence souvent le niveau de sol fini de rez-de-chaussée.
 Toutes les cotes au-dessous de niveau de référence sont affectées d'un signe (-) et toutes celles situées au-dessus sont affectées du signe (+).
 Exemple:




les cotes de niveau dans une coupe verticale .


les cotations de niveau ence entre la représentation des cotes de niveau dans une coupe en élévation (coupe verticale) et dans une vue en plan (coupe horizontale).
Les cotes de niveau dans une coupe horizontale.

3- Les cotes de nus:
Elles indiquent la valeur des différents niveaux sur une façade par rapport à un niveau de référence 0, souvent le niveau de mur. Elles sont positives si elles se situent vers l’extérieur de la construction et négatives dans le cas contraire. Les unités utilisées pour les cotes des nus sont le mètre, le centimètre et le millimètre.
les cotes de nus en mm.



Les dallages sur terre-plein

1- Rôle:
Les dallages sur terre-plein en béton armé servent à:
Supporter les charges; personnes, mobilier, cloisons...
Recevoir les divers revêtements; carrelage, moquette, peinture...
Isoler du froid et de l'humidité du sol.
Ils s'appuient sur un terre-plein, constitué par le sol décapé et les matériaux naturels
dallage sur terre plein.

2- Composition d'un dallage sur terre-plein:
Les dallages sur terre-plein sont constitués:
d'une forme, c'est un remblai compacté généralement constitué de tout-venant ( mélange de cailloux, graviers et sable)
d'un isolant ou d'une couche de sable. Le sable (environ 5cm d'épaisseur) sert à régler la surface horizontale afin de recevoir l'isolant (généralement en polystyrène).
d'un écran d'étanchéité, film plastique permettant de protéger la dalle en béton de humidité.
d'une dalle armée d'un treillis soudé en BA épaisseur 6 à 12 cm.
On rencontre 2 types de dallage:
Dalle indépendante des murs.
Dalle avec appui sur les murs.



3- Dispositions constructives:
Le chaînage horizontal des murs:
Le chaînage horizontal a pour but de ceinturer les façades du bâtiments au niveau du dallage et des plancher. Il limite la fissuration entre les maçonneries porteuse et le dallage ou le plancher.

Cas du dallage indépendant des murs:
Le Chaînage est coffré dans des blocs spéciaux en forme de U.
Cas du dallage prenant appui sur les murs:
Le chaînage, constitué d'armatures préfabriquées, est réalisé en même temps que le dallage